Afin de réaliser par nous-mêmes ce que ces nages valent vraiment en termes numériques, nous avons réalisé une expérience, à l’aide d’un nageur amateur nommé Benjamin, qui consiste à comparer le temps effectué pour chaque nage sur 25m.
Brasse
Crawl
Dos crawlé
Papillon
Benjamin a effectué 25m en crawl en seulement 16sec81 alors qu’il a mis 21sec87 en brasse. Le papillon se place en deuxième place avec 20sec01.
De par cette expérience, nous pouvons effectivement constater que le crawl est la nage la plus rapide et donc la plus efficace, et que la brasse est la nage la moins efficace. Ce constat suit bien l'évolution des nages, qui montrent bien que l’Homme n’a cessé de mieux nager en s’adaptant à ses conditions physiques et en exploitant les lois de la physique, mais qu’il a toujours continué par la suite de faire évoluer ses méthodes de nage. Les records mondiaux de vitesse en natation qui ne cessent de s'accroître au fil du temps démontrent bien les progrès dans ce domaine de l’être humain qui est toujours en proie à devenir homme-poisson.
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Les trois autres nages sont aussi très utilisées, mais tout dépend de ce que l’on attend d’un homme-poisson : la vitesse sur une certaine distance, ou bien l'aisance ?
En somme, la technique du nageur s’efforce de minimiser les résistances pour aller plus vite, tout en se propulsant. Par ses différentes techniques, le nageur ne cesse de gagner en rapidité et les nages sont de plus en plus facile à adopter car l’Homme a trouvé son mode de nage qui lui convient au mieux. C’est ainsi que les records ont explosé ces dernières années. Et l’Homme a de moins en moins de raisons d’envier l’aisance du poisson dans l’eau. Les lois de la physique ainsi connues, l’humain peut explorer d’autres de ses connaissances pour satisfaire ce besoin de devenir homme-poisson.
Pour l'Homme-poisson...
Sans conteste, il reprendra le crawl qui respecte les leçons de physique que lui a donné la nage de Némo (ou Polochon).